4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 20:51

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[Venise - Depuis le campanile de San Giorgio Maggiore- 14 septembre 2012]

 

Et je me souviens de cette matinée au ciel lavé du gris et de la pluie de la veille. De notre arrivée sur l'île et de l'accès au campanile avant l'arrivée des groupes. Du café en terrasse. Du bruit du vent dans les mâts et les cordages. De nos photos pour des montages panoramiques à venir, dans le vent, le pouce en l'air. Je me souviens de tout avec une acuité qui me laisse croire, parfois, que j'y suis encore. Un peu.

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commentaires

V
<br /> Régulièrement, je me replonge dans les photos de la Bretagne prises cet été. Effet apaisant immédiat!<br />
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A
<br /> Comme ce voyage a constitué pour toi un réservoir à sensations heureuses !<br /> <br /> <br /> Oui, nous avons besoin de ces ressources, qui nous aident à rêver, à nous évader, et les voyages que nous nous offrons sont des outils précieux, car nous sommes alors complètement tendus vers ce<br /> but : boire à grandes lampées la beauté des paysages, nous en gorger.... Belle leçon aussi que de penser à le faire un peu chaque jour, chez soi, avec la beauté de ce qui nous entoure mais que<br /> souvent nous ne voyons plus...<br /> <br /> <br /> Merci pour ce moment d'évasion !<br />
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M
<br /> Un peu de rêve dans ce monde si dur, ca fait du bien. Moi j'ai rêvé tout l'automne et l'hiver grâce aux photos des usa. Continue à nous faire rêver.<br />
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C
<br /> Le son des cordages sur les mats un de mes sons préférés.  Je ne peux vivre loin de la mer je m'en suis rendue compte en m'en éloignant et je suis très heureuse de vivre au bord maintenant<br /> été comme hiver son contact m'apaise et me ressource...<br />
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