1 novembre 2008
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16:04
Depuis deux ou trois jours l'envie de recouper mes cheveux tout court.
Dommage pour mon porte-monnaie (au prix total que cela m'a coûté, j'aurais pu faire des mèches en plus du reste).
Leçon du jour : je sais quel salon de mon quartier éviter (ou plus exactement quelle coiffeuse éviter).
Et puis ce matin en allant au marché je constate avec étonnement que les commerces sont quasiment tous ouverts, bien que ce soit un jour férié.
Tout à l'heure je me décide, en me disant que je libérais ainsi ma soirée de mardi.
Tout à l'heure je me décide, en me disant que je libérais ainsi ma soirée de mardi.
Je choisis un salon indépendant.
J'hésitais entre la coupe de la nuque seulement, ou revenir à du tout court.
Je ne sentais pas la coiffeuse partante sur du tout court, alors même que je lui disais que je ne le craignais pas, en en ayant déjà porté...
Au moment fatidique (vous savez, quand le coiffeur met le miroir derrière votre tête, pour que vous vous rendiez compte de ce que les autres voient de votre dos), je tique désagréablement. Je m'interroge, l'interroge, elle me parle d'un épi (j'en ai quelques-uns bien répertoriés, mais celui-ci... je ne le connaissais pas)... Ebouriffe etc.
Je paie, en sentant sans cesse le regard de son collègue sur ma coupe.
En rentrant, je me regarde dans les vitrines. De face et de profil. Je rentre, demande l'avis général. Regarde à nouveau l'arrière de ma tête grâce à un jeu de miroirs.
Je décide aussitôt de ressortir. Je vais chez un autre coiffeur. Je lui demande de rattraper ce que je n'aime pas. En précisant que le court ne m'effraie pas.
Ouf, c'est récupéré...
J'hésitais entre la coupe de la nuque seulement, ou revenir à du tout court.
Je ne sentais pas la coiffeuse partante sur du tout court, alors même que je lui disais que je ne le craignais pas, en en ayant déjà porté...
Au moment fatidique (vous savez, quand le coiffeur met le miroir derrière votre tête, pour que vous vous rendiez compte de ce que les autres voient de votre dos), je tique désagréablement. Je m'interroge, l'interroge, elle me parle d'un épi (j'en ai quelques-uns bien répertoriés, mais celui-ci... je ne le connaissais pas)... Ebouriffe etc.
Je paie, en sentant sans cesse le regard de son collègue sur ma coupe.
En rentrant, je me regarde dans les vitrines. De face et de profil. Je rentre, demande l'avis général. Regarde à nouveau l'arrière de ma tête grâce à un jeu de miroirs.
Je décide aussitôt de ressortir. Je vais chez un autre coiffeur. Je lui demande de rattraper ce que je n'aime pas. En précisant que le court ne m'effraie pas.
Ouf, c'est récupéré...
Dommage pour mon porte-monnaie (au prix total que cela m'a coûté, j'aurais pu faire des mèches en plus du reste).
Leçon du jour : je sais quel salon de mon quartier éviter (ou plus exactement quelle coiffeuse éviter).