20 mai 2009
3
20
/05
/mai
/2009
20:36
[Rue des pierres plantées, Lyon - Avril 2009] Photo prise en souvenir d'une discussion entre D., F. et moi, une soirée de mars...
Les jours ont glissé entre mes doigts. Les journées passent ; je cultive l'art d'apprécier les moments tout simples.
Petit rattrapage alors, de ces jours passés en silence.
* Je me rends compte que je suis professionnellement moins stressée qu'auparavant ; c'est un grand bénéfice, que je n'avais pas perçu quand j'ai pris ce nouveau poste. J'ai pris conscience de cet avantage il y a quelques jours, et quel bien cela fait... Je n'ai pas réussi à diminuer mon investissement (je n'ai pas essayé, en fait). Je n'ai pas essayé non plus d'en donner moins pour qu'ils m'en demandent moins. Toujours le maximum. Parfois, je me sens quand même lasse - de lutter contre une certaine inertie.
* C'est la lumière du jour qui me réveille le matin, bien avant la sonnerie du réveil. Evidemment il est tôt, mais mon sommeil n'est pas brutalement interrompu, et je n'en ressens pas (encore) de fatigue particulière...
* Un mal de gorge qui m'agace mais contre lequel je lutte insuffisamment, tisanes de thym et miel pris trop irrégulièrement pour être efficaces.
* La pluie a cessé, depuis samedi c'est grand soleil, les températures sont carrément estivales. Du coup, mon envie de nu-pieds (et besoin) a été assouvie.
* Après plusieurs mois de Qi-Gong, je constate que je suis encore très cérébrale, pas assez sensistive... alors quand il faut se laisser imprégner d'une couleur (ce que je parviens à peu près à faire) ou d'une odeur... j'ai de la route à parcourir !
* Troisième séance de modelage ce soir, j'ai démarré un nouvel objet utile.
* Les retrouvailles avec une amie, dimanche dernier. Se revoir après tant d'années comme si nous nous étions quittées la veille (et nous n'avons pas vieilli).
* Enfin j'ai fait connaissance avec Lisbeth Salander et son cher journaliste, alors que cette trilogie est dans la bibliothèque depuis deux ans (cadeau à mon homme fait en décembre 2007). Je démarre le deuxième tome. Je vais parfois avoir besoin, moi aussi, de "jouer à ma Lisbeth" (pendant certaines réunions).
* Ils ne me recontactent pas. S'en faire une raison.
* Je me rends compte que je suis professionnellement moins stressée qu'auparavant ; c'est un grand bénéfice, que je n'avais pas perçu quand j'ai pris ce nouveau poste. J'ai pris conscience de cet avantage il y a quelques jours, et quel bien cela fait... Je n'ai pas réussi à diminuer mon investissement (je n'ai pas essayé, en fait). Je n'ai pas essayé non plus d'en donner moins pour qu'ils m'en demandent moins. Toujours le maximum. Parfois, je me sens quand même lasse - de lutter contre une certaine inertie.
* C'est la lumière du jour qui me réveille le matin, bien avant la sonnerie du réveil. Evidemment il est tôt, mais mon sommeil n'est pas brutalement interrompu, et je n'en ressens pas (encore) de fatigue particulière...
* Un mal de gorge qui m'agace mais contre lequel je lutte insuffisamment, tisanes de thym et miel pris trop irrégulièrement pour être efficaces.
* La pluie a cessé, depuis samedi c'est grand soleil, les températures sont carrément estivales. Du coup, mon envie de nu-pieds (et besoin) a été assouvie.
* Après plusieurs mois de Qi-Gong, je constate que je suis encore très cérébrale, pas assez sensistive... alors quand il faut se laisser imprégner d'une couleur (ce que je parviens à peu près à faire) ou d'une odeur... j'ai de la route à parcourir !
* Troisième séance de modelage ce soir, j'ai démarré un nouvel objet utile.
* Les retrouvailles avec une amie, dimanche dernier. Se revoir après tant d'années comme si nous nous étions quittées la veille (et nous n'avons pas vieilli).
* Enfin j'ai fait connaissance avec Lisbeth Salander et son cher journaliste, alors que cette trilogie est dans la bibliothèque depuis deux ans (cadeau à mon homme fait en décembre 2007). Je démarre le deuxième tome. Je vais parfois avoir besoin, moi aussi, de "jouer à ma Lisbeth" (pendant certaines réunions).
* Ils ne me recontactent pas. S'en faire une raison.
* Quatre jours devant moi, et pour une fois, aucun empressement à les remplir, à me demander comment en profiter au maximum. Je verrais bien ce que j'en aurai fait dimanche...